SPECTACLE REPORTÉ AU MERCREDI 9 JUIN 2021
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La carrière du bassiste et chanteur camerounais fait frissonner tous les jazzmen du globe. Tandis que le pianiste cubain est le protégé de Quincy Jones. Les sonorités métissées d’Alfredo Rodríguez et le groove du génial Richard Bona s’unissent ici en un concert fusionnel.
Jacques Higelin, Pat Metheny, Bobby McFerrin, Stevie Wonder, Harry Belafonte, Herbie Hancock, Salif Keita… la liste des collaborations de Richard Bona donne le vertige. Entre New York et Paris, il promène son style unique, campé au carrefour d’une foule d’influences (jazz, bossa, pop, afro-beat, chants traditionnels, funk…). Il a donné à la musique africaine une dimension nouvelle, réellement universaliste.
Alfredo Rodríguez quitte Cuba et sa famille en 2009 pour s’installer aux États-Unis, afin de poursuivre son rêve : travailler auprès de Quincy Jones, qui l’a adoubé dès leur première rencontre trois ans plus tôt, au Montreux Jazz Festival. Coup de foudre musical immédiat du producteur pour le jeune pianiste. Formé dans les rigoureux conservatoires classiques de La Havane, il s’inspire autant de Bach ou Piazzolla que des rythmes afro-cubains, mâtinés de jazz. Un parcours fulgurant épris de liberté, pour ce virtuose cosmopolite à l’énergie contagieuse.
Bona et Rodríguez font ici route ensemble, accompagnés du rayonnant percussionniste Pedrito Martinez, figure majeure du jazz cubain, qui a déjà joué aux côtés d’Eric Clapton, Wynton Marsalis, Chucho Valdez et Sting. Leur rencontre est un pont jeté entre l’Afrique et Cuba.
Leur complicité virtuose nous emmène aux confins de la musique cubaine et de l’Afrique de l’Ouest.
CULTUREBOX – FRANCE TÉLÉVISION