Ferdinand, marié à une femme riche, s’ennuie. Au cours d’une soirée, il rencontre Marianne, une étudiante qu’il a connue cinq ans auparavant. Délaissant son épouse, il s’entiche de la belle…
« Personne ne sait mieux que Godard peindre l’ordre du désordre. […] Peut-être que la folie de Pierrot, c’est qu’il est là à mettre dans le désordre de notre temps l’ordre stupéfiant de la passion. Peut-être. L’ordre désespéré de la passion. »
LOUIS ARAGON – LES LETTRES FRANÇAISES, 9 SEPTEMBRE 1965